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Les deux articles
d'Iñaki qui lui ont couté 12 ans de prison !
Bouclier par Iñaki
Je regarde la
télé. J’écoute la radio. Je lis des journaux et des magazines. Le
bombardement est intense et permanent. L’ennemi se sent de plus en
plus puissant. Des arrestations en Iparralde et Hegoalde. Coups de
filet de la police dans les États français et espagnol. Des infos
empoisonnées qui cherchent à inoculer le virus de la méfiance.
Le
« Lobo »(loup), simple indic que la « txakurrada » (la police en
terme vulgarisé, comme on dirait « la volaille ») avait éliminé
avant de le balancer au fumier de ce qui n’est plus utile (comme
pour tous les minables indics), est aujourd’hui à nouveau récupéré
et porté à la catégorie des héros de l’infiltration et des services
secrets ; acteur principal de films et de reportages où on exhibe
des fanfaronnades romanesques à coups de scénario et de chéquiers.
Manœuvres de
découragement. Fuites de courriers et de conversations, complètes ou
partielles mais, ce qui est certain, manipulées et intéressées, tout
en reconnaissant que nous devons éviter de leur rendre la tâche plus
facile.
Dispersion
pénitentiaire : dans les différents centres pénitenciers et à
l’intérieur même des établissement. Traitements indignes, tortures
rénovées avec le temps mais permanentes dans leurs formes et aussi
anciennes que la répression politique. Agressions, souffrance pour
nos familles, nos proches et nos amis. Camarades malades soumis au
chantage de la gravité de la situation.
Oui,
l’offensive est forte sur tous les fronts, et indéniable. L’ ennemi,
peut-être, est-il en train d’imaginer qu’il est capable de nous
donner le coup de grâce ? Qu’ il peut arriver à achever le Mouvement
de Libération National Basque ? Qu’il va obtenir la soumission d’un
peuple ou au moins étouffer le bruit de ses pas en le faisant
marcher exclusivement sur la moquette ?
Je n’ai pas
besoin d’être un devin pour pouvoir clamer avec force et
détermination, avec une expression politiquement incorrecte : « Que
ce soit clair pour vous : allez vous faire fouttre, vous n’allez pas
gagner. N’avez-vous pas encore remarqué que nous avons un bouclier
invulnérable, celui d’ avoir raison ? ».
Comme tout
pouvoir totalitaire, fasciste ou néofasciste, le Gouvernement actuel
du PSOE, à l’égal de son prédécesseur et de ceux qui les ont
précédés, se voit dans le besoin de réécrire en permanence
l’histoire ; de manipuler et de mentir tout en désignant les bons et
les méchants en fonction de sa propre convenance, dépassant
largement les limites de la fiction orwelienne bien connue. Et ce
comme stratégie de guerre avec pour seul but proclamé : notre
assimilation. Obtenir de nous le renoncement à nos principes, à nos
valeurs et à nos droits et notre intégration à leur système.
Juges
prévaricateurs, politiciens corrompus, professionnels de la torture,
gardiens de prison sans scrupules….vous êtes ennuyeux, lassants et
prévisibles. Vous ne méritez ni respect, ni aucune considération de
ma part, pas même celle de faire attention au ton de cette lettre.
Cependant, cela
mérite une explication. Totalitaire, la façonde faire de Zapatero ?
Fascistes, ces petits yeux bleus et ce sourire d’ange ? Le même qui
a fait partir les soldats d’Irak ? Celui qui va faire modifier les
lois sur l’avortement, le divorce et d’autres pour contenter la
« gauche domestiquée » ? Et oui, totalitaire, sans aucun doute.
Celui qui donne la priorité au Pays basque (il ne peut pas en être
autrement pour les Basques), qui proclame des lois d’exception, crée
ou maintient en place des tribunaux spéciaux, dissimule la torture,
poursuit ou réprime les droits d’association, droits d’expression,
droits de la presse… celui qui interdit la participation politique
et électorale, celui qui fait tout pour faire taire une nation et
lui nie son droit à l’autodétermination est un fasciste de manuel.
Laissons de côté les fioritures du langage.
Le 25 octobre
2004, techniquement, je terminais de purger la peine de prison que
leur système juridique et pénitentiaire m’a imposée d’après le Code
Penal de 1973, un code franquiste incomparablement plus « doux » que
l’actuel, mis en place par ses héritiers. Cependant, je ne suis pas
sorti de prison. Officielement, du fait des doutes que le juge Gomez
Bermudez – autre star méteorique surgie grâce à la souffrance basque
- a en ce qui concerne la peine accomplie. Encore une fois, je suis
surpris – et j’espère ne jamais perdre cette capacité- du mépris des
les lois par leurs propres serviteurs. Nous, qui nous battons contre
elles, il est normal que nous les refusions. Mais que ceux qui en
font leur gagne–pain les méprisent, cela montre la fonction réelle
qu’elle occupe.
Par raport à
mon cas, on ne peut pas mais, surtout, on ne doit pas utiliser des
termes comme illégalité, kidnapping… Je n’aime d’ailleurs pas qu’on
les utilise pour me défendre. De la même façon que moi, illégalisé,
quelques 700 camarades sont en prison et, au-delà de ces murs,
toute une partie de la société basque qui ne s’est pas soumise,
sont kidnappés par un système autoritaire, pour certains depuis bien
plus longtemps que moi. Il y a des centaines de miliers de basques
qui, aujourd’hui, se trouvent au 4ème degré
pénitentiaire, succeptibles d’être importunés n’importe quelle nuit
par des uniformes venant frapper à leur porte pour brandir des
représailles à leur encontredu fait de leur « mauvais
comportement ».
Le ministre
Lopez Aguilar a été plus clair encore. On ne peut en aucun cas
permettre la sortie de prison de De Juana et il n’y a rien d’autre à
dire. La raison ? Il ne présente pas de signes selon lesquels qu’il
est à nouveau socialisé. Cependant, et heureusement d’ailleurs, ni
De Juana, ni l’immense majorité des 700 prisonnier(e)s, ni une
grande partie de la société basque, ne donnent ces signes.
Socialiser à
nouveau, dans le sens utilisé par l’ennemi, implique la défaite et
l’acceptation des contrevaleurs magistralement représentées par tous
les Lopez Aguilar, Zapatero et Gomez Bermudez. Ils devraient se
poser la question suivante : si 700 camarades, avec des miliers
d’années passées et/ou à passer en prison, ne donnent toujours pas
de signe de « resocialisation », cela ne montrerait-il pas une
faille dans le système pénitentiaire ? Ce qui les a fait échouer,
c’est le fait que nous possédions le bouclier de la raison. Et que
rien n’est insurmontable, personnellement et politiquement, à part
l’intériorisation de l’ échec.
Dans tous les
processus, il y a des hauts et des bas. Les apparences trompent
également. Politiquement, le bruit n’est pas signe de force, ni le
silence signe de faiblesse. Nous allons gagner. Lisons l’histoire
d’autres processus qui ont triomphé, pas celle des perdants. Nous
devons comparer l’acceptation de notre discours politique de la part
de la société basque aujourd’hui à celle d’il y a 25 ans.Le reste
est facile : travail, sacrifice, apprendre des erreurs et ne pas
mettre des bâtons dans les roues de notre bicyclette.
Il y a quelques
années, j’ai écouté un camarade qui m’est très cher crier avec
force : « Sortez vos sales pattes du Pays basque ». Oui,
sortez-les, parce qu’un autre chemin n’impliquera que plus de
souffrance. Dans le cas contraire, le futur démontrera sans doute
que vous les y perdrez.
Source photo :
Unità Naziunale, Archives du site.
Source info :
Unità Naziunale
© UNITA NAZIUNALE 1999 - 2006
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GALLIZO par Iñaki
Au cours de la Commission d’Investigation sur les attentats du 11
mars, Madame Margarita Uria - le 14 décembre dernier - s’est
adressée au président du Gouvernement pour lui poser, entre autres,
quelques questions concernant les affaires pénitentiaires. Après les
préliminaires, accompagnés d’éloges à faire rougir adressées
à Mercedes Gallizo, la membre de cette commission n’a interrogé
Monsieur Rodriguez Zapatero que sur les fuites de certaines images
et d’une lettre dans les médias.
Elle n’a pas soulevé le sujet de la torture et des mauvais
traitements. Pas plus que celui de la mort et de la maladie de
prisonniers. Elle n’a pas manifesté d’intérêt quant à l’isolement et
à l’incommunication. Ni sur le point des accidents… Elle a encore
moins posé de questions sur la dispersion. On aurait pu lui répondre
que le parti politique auquel elle appartient a été un de ceux,
parmi les plus importants, qui ont validé cette mesure. Le PNV a
rendu légitimes la répression et la politique pénitentiaire la plus
cruelle, non seulement dans leur conception théorique et de la
couverture de leur mise en route qu’en tant qu’acteur principal,
avec ses propres conseillers, au sein de la Direction Générale de
Institutions Pénitentiaires.
Ni Madame Margarita Uria, ni aucun des élus au Parlement qui
brandissent les droits humains comme drapeau de combat, n’ont eu la
plus plus petite intention de s’intéresser aux brimades et
agressions sexuelles subies par quelques-unes des femmes
interpellées dans les derniers coups de filet de la police. Madame
Uria ne prête aucun intérêt à ces faits, en tant qu’élue
parlementaire comme en tant que femme. Et elle ne se pose pas de
questions car elle sait que lorsque, dans le cadre d’une opération
répressive avec la couverture médiatique qui s’en suit, on est
interpellé comme membre présumé d’ETA, cela justifie
largement l’absence de tout droit, y compris du droit à ne pas être
torturé. Les hypocrites d’antan disaient : « Quien roba a un ladrón
tiene cien años de perdón » (qui vole un voleur aura cent ans de
pardon). Aujourd’hui, les citoyens ont de nouveaux référents qui
disent : faire violence à celui qui a été agressé n’est pas le signe
d’une double violence mais celui de la justice et du silence. Mais
ça, nous le savons tous, y compris la mandataire qui fait l’éloge de
Madame Gallizo.
Face à autant d’éloges entre gens biens (pas comme moi qui suis
Basque, rouge et doté de plusieurs istes supplémentaires), je
me suis demandé si je ne me trompais pas. « Iñaki, pense
positivement », me disais-je. J’imaginais que les murs en béton
étaient en fait des murs de chocolat. L’acier, des cheveux d’ange
.Les trois prisonniers morts aux aurores dans les prisons de
Langraitz et de Zuera, des poupées de massepain. Mais, et c’est
curieux, je n’arrivais pas à imaginer que Madame Gallizo puisse être
autre chose que ce qu’elle est, tout comme ceux qui l’ont précédée
dans son poste n’étaient rien d’autre que ce qu’ils étaient.
Lorsque le PSOE a remporté les dernières élections générales, une
certaine attente est née parmi ceux qui ont l’habitude d’y croire,
par naïveté ou simplement par besoin. Des illusions qui, en
politique, s’avèrent habituellement être fausses. C’est la même
chose qui est arrivée avec la nomination de Madame Gallizo à la tête
de la Direction générale de Institutions Pénitentiaires. Au début,
les nombreux relais de Directeurs de centres pénitenciers laissaient
croire aux préludes de changements plus importants. Lorsque j’ai eu
connaissance de la liste des nouveaux nominés, ma conviction s’est
réaffirmée selon laquelle le seul horizon de justice possible dans
les prisons viendra de la démolition de leurs murs. Cette
conviction, même si elle semble utopique, est, honnêtement, beaucoup
plus réaliste que de prétendre ou espérer que le béton et le fer
puissent enfermer des droits humains au lieu de la violence et de la
souffrance.
Dans cette prison d’Algeciras, Madame Gallizo a révoqué le directeur
Miguel Angel Rodriguez, alias « El Tragasables » (l’avale-sabres).
Professionnel cultivé qui réagissait immédiatement dès qu’il
entendait le nom d’un prisonnier politique basque. Il tenait un
discours élaboré et s’exprimait avec un style fluide : « Les
décisions judiciaires concernant les membres d’ETA, je m’en
branle ». Bien connu du Collectif des Prisonnier(e)s Politiques
Basques, il n’a pas été évincé à cause des montagnes de plaintes à
son encontre, ni des irrégularités commises, non. Pas même à cause
d’un délit « mineur » - il fait l’objet d’une instruction judiciaire
sous l’accusation d’avoir mis la main dans la Caisse du Centre
Pénitentiaire de Puerto II. Il a été cassé, parce qu’il n’appartient
pas au même parti politique que Madame Gallizo. Jusqu’où ira-t-on !
J’allume la télé. Ils parlent du festival de cinéma de Huelva. À
côté de l’acteur Imanol Arias, lui rendant hommage et lui bavant
presque autour, il me semble reconnaître un visage qui évoque en moi
des souvenirs désagréables. Il a les cheveux blancs et a pris un
coup de vieux, mais certainement pas du fait de problèmes de
conscience. Ce doit être le prix payé pour tous les excès commis.
J’ai la consolation bête de constater que cette fois-ci, le
tortionnaire a moins bonne apparence que les torturés. Aucun doute.
Ce visage s’est gravé dans notre mémoire, à coup de mauvais
traitements et de faim. Il s’agit de Francisco Sanz, sous-directeur
de la prison de Malaga, Directeur de Salto del Negro, de Puerto II
et, aujourd’hui, du CP de Huelva. Il est parvenu à ce que, dans le
cadre de ce festival de cinéma, un groupe de prisonniers attribue un
prix. Voilà pourquoi il bave autour d’Imanol Arias, et la première
question qui me vient à l’esprit en voyant cette image est de me
savoir si l’acteur a remarqué le sillon de la matraque et l’humidité
du sang lorsqu’il lui a serré la main.
Il semble qu’il n’y a pas eu de changement de directeur au CP de
Huelva.
La liste des nominations est longue, 21 noms et 10 supplémentaires
pour changement d’affectation. Quelques noms de famille me font
fouiller le fond de ma mémoire. C’était l’année 1977 je crois, car
la seule archive avec laquelle je puisse compter, mon cerveau, n’est
pas un disque dur. En tous cas, c’était l’époque postérieure à la
mort du général Franco, lorsque la société débordait d’illusion
tandis que les partis politiques conspiraient pour la détruire.
Je marchais dans les rues de Madrid, un jour comme tant d’autres,
dans une manifestation pour l’aministie et la liberté. Je quittais
la Gran Via. Je remontais la rue Libreros et, à la hauteur de ce qui
fût l’hôtel Darde, je rencontrais un groupe de personnes aussi
jeunes que moi, qui descendaient en courant au cri de « ils ont
tiré ! ». Avec plus de curiosité que de précaution, je continuais
jusqu’au bout de la rue. Je tournais à droite et j’empruntais la rue
La Estrella. Quelques mètres plus loin, un jeune homme se trouvait
allongé par terre, dans une flaque de sang, mort. L’endroit s’est
rempli de « gris » ( les « gris » sont les membres de la police
espagnole dont l’uniforme, à cette époque, était gris). Ceux qui
avaient tiré étaient des argentins appartenant à la triple A,
semble-t-il. Peu importe. C’est un de ces sigles qui cachent la même
chose et qui réapparaissent quand nécessaire.
Le jeune homme mort s’appelait Arturo Ruiz et avait un frère qui, au
début, était de gauche et qui, finalement, s’était rapproché du PSOE
et était devenu gardien de prison. Fonctionnaire de prison et homme
de confiance au point de céder son bureau de la prison d’Almeria, au
petit-matin, pour les conversations secrètes entre des envoyés du
Gouvernement et des représentants d’une organisation armée qui N’EST
pas ETA. Ce genre de négotiations, qui n’existent jamais et qui, si
elles existent, sont niées.
Arturo Ruiz est mort un jour de lutte pour l’amnistie et la liberté,
et son frère vit pour la réduire. D’ailleurs , dans sa conditon de
nouveau Directeur du CP de Sevilla II, il vit bien.
Jesús Eladio del Rey Reguillo, alias « El Tirillas » (Galons) est
nommé nouveau Directeur du CP de Valdemoro. La première image qui me
revient en tête est celle de la mutinerie de la 1ère
Division, à Herrera de la Mancha, en 1988. La moitié des quelques 40
prisonniers politiques basques a terminé à l’infirmerie et cinq
camarades ont été conduits à l’hôpital avec plusieurs fractures. Une
image grotesque : Tirillas, un couteau de chasse à la main, à la
tête d’un groupe important de gardiens de prison et de gardes civils
et parcourant les galeries de la division, de cellule en cellule,
signalant qui devait recevoir une ration simple ou une ration double
de coups de bâtons .
Manuel Martínez Cano, alias « el Morritos », est nommé nouveau
Directeur du CP de Jaen. Provocateur et détonateur de la mutinerie
évoquée plus haut. Le seul souvenir agréable qu’un prisonnier puisse
avoir de lui est celui de l’avoir vu, enfin, intimidé, aspergé de
poudre blanche avec un extincteur activé par un camarade de
mutinerie.
Antonio Diego Martín, est nommé directeur du CP de Puerto II. Il est
inculpé pour tortures et excés de rigueur à la prison de Sevilla II.
Jugé avec l’ancien Directeur de Institutions Pénitentiaires, Antonio
Asunción, il n’a jamais été relevé de son travail répressif. Il
poursuit son travail à la prison de Melilla. Des prisonniers mis aux
fers et attachés aux lits pendant des semaines. Les séances de
torture, nus et aspergés d’eau, les cris et les lamentations n’ont
jamais entraîné une seule journée de révocation. Au contraire, à
l’arrivée de Madame Gallizo, il a eu droit à une promotion.
Il n’y a pas de raison de continuer cette liste. Je suis convaincu.
La nouvelle politique pénitentiaire du nouveau Gouvernement de
Monsieur Zapatero consiste en la récupération et la promotion des
personnages qui ont laissé les plus tristes souvenirs aux
prisonniers en général, et au Collectif de Prisonnier(e)s Politiques
Basques en particulier. Ou à maintenir à leur poste ceux qui
remplissent déjà les conditions requises.
Les attentes se sont réalisées. A moins que je me trompe et que les
tortionnaires soient capables de lutter eux-mêmes contre la torture.
L’expérience ne leur fait pas défaut. Et alors, même moi, je serais
capable d’imaginer Madame Gallizo autrement que comme elle est.
Source photo :
Unità Naziunale, Archives du site.
Source info :
Unità Naziunale
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