Le
25 octobre 2006 : Christophe Giannesini est passé devant le JLD
(juge des liberté et de la détention) pour une demande de remise en
liberté, bien évidement, elle lui a été refusé.
"Cocò" Giannesini est en détention
provisoire depuis janvier 2006 et incarcéré à la Maison d'Arrêt de
bois d'Arcy en région parisienne. Il avait été interpellé, gardé à
vue, déporté, mis en examen et écroué selon le schéma type répressif
de la juridiction d'exception française en matière de terrorisme
Et tout ca pour quoi ?
Lors de la conférence de presse en
janvier 2006, le Comité Anti répression revient sur les conditions
d'interpellations de notre ami Cocò Giannesini.
Au
mois de novembre 2005 au cours des obsèques d’un jeune sympathisant
nationaliste de son village, Emile Cortichiato, une plaque
commémorative à été déposé sur sa tombe.
Il s’en est suivie adurant les jours suivant toute une série
d’intimidation policière et judiciaire diligenté par Paris, qui à
l’ouverture de l’enquête ont fait exprimé par l’intermédiaire d’élus
municipaux la volonté de faire enlever cette plaque.
Puis ce fut les interrogatoires sans ménagement de la famille
et des proches du défunt qui se succédèrent, infligeant une
nouvelle
et douloureuse épreuve au père à la sœur au beau frère et à la
compagne de la personne décédée, certains d’ailleurs ayant subi au
cours de leur courte garde à vue une systématique prise d’emprunte
ADN.
Que
lui reproches t on ?
Un
très hypothétique contact avec un artisan qui aurait pu réaliser
cette plaque.
Et donc à partir de là, la police d’exception va construire un
véritable scénario, aidé en cela par le nouvel arsenal juridique
précédemment cité souvent en outrepassant allégrement les limites
permises par celle-ci.
Un des exemples de ces forfaitures judiciaires réside dans le fait
que dernièrement un petit groupe de gendarmes s’est rendu dans la
propriété du père du défunt, et sans l’en avertir tandis que
celui-ci était bien présent à cette heure dans sa maison, ils ont
procédé a l’enlèvement de la dite plaque après avoir ouvert deux
barrières située sur la propriété familiale. Il est vrai qu’ils
avaient pris la précaution de réquisitionné deux conseillés
municipaux à titre de témoin.
Le
procès de Christophe Giannesini se tiendra normalement le 29
Novembre 2006.
Source photo :
Unità Naziunale, Archives du site.
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Unità Naziunale
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