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 CommuniquÉ des Sections Corsica Nazioni-Indipindenza de l’Extrême-Sud

 

A l’image d’Olivier Sauli, actuellement victime d’un véritable harcèlement politico-judiciaire, les militants nationalistes de notre région subissent les brimades d’une justice et d’une police instrumentalisées par le pouvoir politique.

 

Le refus de l’État français, à travers le gouvernement Raffarin, de s’engager dans un règlement politique de la question corse le conduit à se fourvoyer dans une impasse répressive. Pour justifier ses dérives, il tente désormais de manipuler l’opinion publique en criminalisant le Mouvement National. Cette stratégie, initiée par Sarkozy et mise en œuvre aujourd’hui par de Villepin, ne doit abuser personne.

 

A l’heure où le ministre français du tourisme rend visite à Camille de Rocca Serra, promoteur immobilier de son état et politicien à ses heures, il ne faut pas être surpris par ces interpellations suivies, comme à l’habitude, de garde à vue. Elles ont pour objectif d’intimider tous ceux qui s’opposent à une vision du tourisme basée sur la spéculation immobilière et la braderie de la terre corse.

 

Ce tourisme là, et les corses le savent bien, est pour la plupart d’entre eux synonyme de paupérisation. Pendant que quelques uns vivent dans l’opulence, tel le maire de Portivechju à Punta d’Oru, la majorité des corses subit dans son quotidien, les effets pervers d’un tourisme conçu sur le modèle des républiques bananières, au sens qu’il n’entraîne pas, ou peu d’activités productrices.

Le Mouvement National est parfaitement conscient de la convergence d’intérêts entre l’État français et un néo clan prompt à s’adapter aux mutations économiques, et ce ne sont pas les intimidations qui dissuaderont ses militants de défendre ceux du peuple corse.